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Appel à projets générique

L’AAPG, instrument clé pour soutenir les initiatives de recherche

Dispositif emblématique de l’ANR, l’Appel à projets générique (AAPG) encourage les initiatives de recherche individuelles et collaboratives. Appel ouvert aux chercheurs et chercheuses, de toutes communautés scientifiques publiques ou privées, il a contribué, en 2019, à soutenir 1 157 projets. Ambition affichée de ce programme de financement : promouvoir une recherche de qualité, responsable et éthique et faire progresser les connaissances issues des projets de recherche fondamentale comme de recherche appliquée.

aapg
1157,00

projets soutenus par l'AAPG en 2019

Un budget et un taux de sélection toujours en hausse

13 % en 2017, 15 % en 2018, 16 % en 2019… Le taux de sélection de l’AAPG enregistre une augmentation constante depuis plusieurs années. Parmi les 7 217 projets déposés en 2019, 1 157 ont ainsi été retenus pour un montant global de 464,2 M€, soit 81,6 % du budget d’intervention de l’Agence. Une augmentation du financement de 4,7 % par rapport à 2018.

Un appel, quatre instruments de financement

L’AAPG recouvre 4 instruments destinés à financer des projets de recherche individuelle portés par des jeunes chercheurs/jeunes chercheuses (JCJC) et des projets de recherche collaborative : soit entre entités publiques dans un contexte national (PRC) ou international (PRCI), soit entre entités publiques et privées présentant une ouverture vers le monde de l’entreprise (PRCE).
Dans le cadre des projets de recherche collaborative - internationale (PRCI), le partenariat franco-allemand entre l’ANR et la DFG (Deutsche Forschungsgemeinschaft) a bénéficié d’une priorité dans le Plan d’action 2019. Elle s’est traduite par une aide budgétaire supplémentaire de 3 M€.

Une ouverture à toutes les disciplines de recherche

Inscrits dans les objectifs de développement durable et les défis sociétaux majeurs, 48 axes de recherche structurent l’AAPG, dont 13 axes correspondant à des enjeux transverses : ville durable, bioéconomie, santé et environnement… Chaque axe dispose d’un comité d’évaluation scientifique (CES) dédié, composés d’acteurs scientifiques indépendants français ou étrangers. L’AAPG intègre les priorités stratégiques définies par l’État : l'intelligence artificielle, les sciences humaines et sociales, les technologies quantiques auxquelles s'ajoutent, depuis l'édition 2019, l’antibiorésistance, l’autisme au sein des troubles du neurodéveloppement et la recherche translationnelle sur les maladies rares.

Une sélection en deux étapes

Deux grandes étapes rythment le processus de sélection de l’AAPG. Dans un premier temps, les porteurs de projets soumettent une pré-proposition évaluée au regard de sa qualité et de son ambition scientifique par les comités d’évaluation scientifique (CES). Les coordinateurs retenus remettent ensuite une proposition détaillée analysée par des experts externes puis une nouvelle fois par les CES. Cette 2de évaluation porte notamment sur la qualité de construction du projet, son originalité, son impact et ses retombées potentiels, etc. Tous les porteurs de projets s’engagent par ailleurs à considérer la dimension sexe et/ou genre dans le déroulement de leur projet. Il convient enfin de signaler que les opérations relatives à l’AAPG se situent dans un contexte d’amélioration continue des processus de sélection des projets, certifiés ISO 9001.

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Les grandes étapes pour déposer
un projet à l’Appel à projets générique de l’ANR

Quelles sont les grandes étapes pour déposer un projet à l’Appel à projet générique (AAPG) principal appel de l'Agence nationale de la recherche ? Tout d'horizon des étapes clés.

Visionnez la vidéo « Les grandes étapes pour déposer un projet à l’Appel à projets générique de l’ANR »

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Les nouvelles générations se distinguent

Ils représentent près d’un quart des projets retenus : les projets jeunes chercheurs/jeunes chercheuses (JCJC) atteignent un taux de sélection de 19,1 % en 2019 contre 15 % en 2018. Ce résultat encourageant s’explique en grande partie par la forte implication des déposants et la qualité de leurs dossiers. Destiné à favoriser la prise de responsabilités et l’autonomie scientifique, l’instrument JCJC s’adresse à celles et ceux qui ont obtenu leur doctorat depuis moins de 10 ans. Il constitue pour certains un premier pas vers les appels à projets européens.

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